Devenir psychothérapeute d’enfant aujourd’hui

Société Européenne pour la Psychanalyse de l’Enfant et de l’Adolescent

Les 30 ans de la SEPEA

Dans le cadre habituel et en visioconférence

Association du Quartier Notre-Dame des Champs
92 bis bd du Montparnasse – 75014 PARIS

LIEN VERS LES TEXTES DU WEEK-END

Conférence d’Anne Brun
Psychanalyste, SPP,

Discutée par Dominique Delay (SPP/SEPEA)

Une journée de travail clinique

Présentations de psychothérapies en ateliers, suivies d’une discussion théorico-clinique animées par des membres de la SEPEA

Dialogue en présence avec Florence Guignard :

T. Flores (Lisbonne), L. Rodrigues de la Sierra (Londres)

H. Suarez Labat (Paris), T. Ruhl-Obermayer (Berlin)

Accessible aux personnes à mobilité réduite

Renseignements et inscriptions : 
Tél. 00 33 (0)6 02 18 80 39

N° SIRET 40270328400057-Code APE 8559A – Certifié Qualiopi / Actions de formationAssociation régie par la loi 1901 – Organisme de formation N° 11 75 22 68 175

Articles récents

  • Organisé par le Groupe Normand de la Société Psychanalytique de Paris et dans le cadre d’un après-midi « Un Livre, un Auteur » : Le samedi 14 septembre 2024 de 14h30 à 17 h30 au Musée André Malraux MUMA du Havre.

  • Une entrée dans l’univers de la justice, dans la psyché des juges, de manière intime. Comprendre la part psychique est un élément complexe et indispensable de l’acte de juger, un enjeu fondamental pour l’exercice de la justice et la démocratie. Que se passe-t-il dans la tête des juges lorsqu’ils doivent prendre leurs décisions ?

  • Des psychanalystes de toutes obédiences, dressent un état des lieux de ce que les psychanalystes apportent aux enfants et adolescents soignés en psychiatrie. Dès le début de son histoire, la pédopsychiatrie a partie liée avec la psychanalyse qui apporte sa contribution à la compréhension des symptômes,

  • AMENDEMENT 159 CONTRE L’APPROCHE PSYCHANALYTIQUE ET PROPOSITION DE LOI 2586 – CONTINUONS À REFUSER D’ÊTRE LE BOUC ÉMISSAIRE DE LA DÉGRADATION DU SOIN PSYCHIQUE    Avec de nombreux collègues, nous avons été scandalisés par la légèreté et l’hostilité sans fard qui ont conduit à la rédaction du pénible amendement – aujourd’hui retiré- réglant son compte à la psychanalyse, dans l’urgence de trouver n’importe où, et par n’importe quel moyen des sources de réduction des dépenses de la Sécurité sociale. Bruno Falissard (*), psychiatre et scientifique dont le travail est reconnu dans la communauté du soin psychique, posait la question dans un communiqué récent : »Pourquoi ce besoin d’ériger un ennemi intérieur dans le champ de la santé mentale, comme si la difficulté du système se résumait à la présence de psychanalystes remboursés ?  » . Peut-être pouvons-nous avancer des éléments de réponse ?