92bis Bd du Montparnasse, 75014 Paris
Note : les «Weekends» et les «Samedis» de la Sepea sont ouverts aux psychothérapeutes qui le souhaitent, sous réserve d‘un entretien préalable avec un membre de la Sepea.
Note : Les textes étudiés seront transmis par mail après inscription.
C'est à travers son « commerce » avec l'objet que le psychisme se nourrit, s'organise et se développe vers une autonomie « suffisamment bonne » pour lui permettre de faire face aux aléas du manque et de la perte d'objet, et ce tout au long de la vie. Chez l'enfant, la problématique dépressive revêt un caractère paradoxal : d'une part elle représente une étape constuctive vers l'établissement d'un monde interne via les auto-érotismes et la symbolisation (cf. la « position dépressive » dans les premiers mois de la vie, puis le renoncement oedipien à la latence), d'autre part elle comporte un risque d'écueil parfois grave pouvant bloquer ce même développement. Nous étudierons plus particulièrement la problématique dépressive à la période de latence, dans cet intervalle qui se situe entre deux crises fondamentales du développement chez l'enfant, la crise oedipienne et la crise pubertaire. Tous les auteurs soulignent à cette période la rareté des pathologies dépressives manifestes au regard des symptomatologies derrière lesquels celles-ci peuvent se déguiser : troubles des apprentissages, agitation, etc... Parmi les différentes modalités défensives utilisées par l'enfant contre l'angoisse de perte, nous accorderons un intérêt particulier aux défenses maniaques en interrogeant leur fréquence à la période de latence : comment élaborer le traitement de la perte alors qu'il faut « devenir grand » ?
Note : Aucun paiement pour assistance partielle ne sera accepté.
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